Archives des news publier

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ASRock se lance dans les cartes graphiques AMD Radeon


Le Digitimes affirme que le fabricant ASRock, spécialisé dans les cartes mères, va se lancer sur le marché des cartes graphiques, en fournissant des cartes AMD.

Bonne santé pour s'étendre. La marque taïwanaise voit ses revenus en forte hausse, et en profite donc pour s'étendre sur un nouveau marché. L'arrivée d'ASRock sur le marché des Radeon devrait encore diviser la disponibilité des GPU AMD pour les autres fabricants, surtout en cette période de pénurie. Reste maintenant à savoir si ASRock prépare des cartes custom, ou se bornera à produire des modèles de références.

08/03/2018


Donnez du souffle de maître à votre CPU avec les MasterAir MA620P et MA621P


Toujours très actif en général, et plus particulièrement ces derniers jours avec les lancements du H500P White Mesh et les boîtiers Q300, Cooler Master continue d'étoffer son offre MasterAir autoproclamée de next-gen du refroidissement à air, aujourd'hui avec les radiateurs CPU MasterAir MA620P et MA621P, déjà aperçu au CES 2018. Très loin de l'aspect "funky" du G100M (notre test de cet objet venu d'ailleurs), les deux références sont construites à partir du design du célèbre Hyper 212 de la marque et sont ainsi quasiment identiques, si ce n'est que le MA621P est compatible avec le socket TR4 des ThreadRipper et de ce fait dispose d'une surface de contact de taille adaptée. De son côté, le MA620P se "contente" d'être compatible avec la grosse majorité des sockets mainstream d'AMD et d'Intel.

Au format double tour, le radiateur est assez imposant - essentiellement deux Hyper 212 boostés aux hormones se tenant le bout - vêtu d'un couvercle assez singulier et ses dimensions (sans ventilateurs) sont de 116 x 110,1 x 158,4 mm pour un poids total de 850g. Six caloducs en cuivre sont de la partie, connectant les deux radiateurs via une base exploitant la technologie CDC 2.0 du constructeur, ou Continous Direct Contact technlogy, une autre dénomination colorée pour dire qu'on est en présence d'une base direct-touch. Voici pour la portion "Master" des MA620/621P.Pour ce qui est de l'"Air", Cooler Master a prévu deux ML120R inévitablement montés de DEL RGB, lesquels sont pilotables comme de coutumes avec les technologies respectives de synchronisation luminaires de constructeurs tels qu'ASUS, GIGABYTE, MSI ou encore, ASRock.

Hormis leur capacité à illuminer votre journée, les MF120R sont également capables de monter haut dans les tours entre 650 et 2000 RPM, soit un airflow approximatif de 59 CFM, le tout avec un bruit (tout aussi approximatif) aux alentours de 31 dBA. Si d'aventure deux ventilateurs ne savaient être suffisants, Cooler Master a prévu le coup, et il est ainsi tout à fait envisageable d'en installer un troisième. N'est pas un Master qui veut !

Le MA620P a déjà été testé à plusieurs reprises cette semaine, il ne se débrouille pas trop mal dans l'ensemble, même s'il n'arrive pas vraiment aux chevilles des plus monstrueux Noctua NH-D15 et Cryorig R1 Ultimate, il se permet toutefois de dépasser le Captain 240 EX de Deepcool dans certains cas. Mais son tarif annoncé de 74,99£ outre-Manche ou de 79,99$ outre-Atlantique (et donc 79,99€ chez nous ?) ne joue pas vraiment en sa faveur, à ce prix là il existe des alternatives sous air un peu plus performantes et les AIO ne sont pas loin non plus.

06/03/2018


Tuerie de masse : en plus du contrôle des armes, ce spécialiste de la VR préconise un petit changement dans les jeux vidéo


D'un côté, réformer la vente et le port d'armes. De l'autre – principe de précaution oblige, légèrement modifier le réalisme des fusillades dans les jeux vidéo : pour ce spécialiste de la VR, il ne serait pas idiot de "dévier les balles fictives". Le voilà remis sur la table. Après la fusillade au lycée de Parkland, en Floride, le débat sur le rôle des jeux vidéo fait de nouveau rage. Le président américain Donald Trump a d'ailleurs annoncé qu'il recevrait bientôt l'industrie vidéoludique pour en discuter. Mais les jeux vidéo n'ont pas de frontières tandis que les États-Unis sont particulièrement frappés par ce fléau (en 2017, le pays n'a connu que 135 jours sans tuerie de masse, relèvent les Décodeurs du Monde). Alors, le vrai problème ne se situerait-il pas plutôt du côté de la libre circulation des armes ?

Cela, Jeremy Bailenson, professeur à Stanford, en est convaincu. Mais il fait aussi remarquer que l'on a enregistré dans le monde au moins un tireur de masse s'étant entraîné sur un jeu de fusillade en réalité virtuelle. Il s'agit d'Anders Breivik, qui d'après le Guardian, avait expliqué lors de son procès en 2012 avoir aiguisé ses compétences en tirs grâce au "dispositif de visée holographique" installé dans le jeu "Call of Duty".

"Les jeux vidéo ne créent pas les tireurs de masse, mais peuvent aider ceux-ci à se perfectionner" Selon le spécialiste de la réalité virtuelle, même si la réalité virtuelle appliquée aux jeux de fusillade ne s'est pas démocratisée, il est d'ores et déjà important que les éditeurs se posent la question du réalisme proposé dans ces expériences fictives afin de ne pas servir de "camps d'entraînement virtuels" à ceux qui aimeraient passer à l'acte."

Si un potentiel tireur de masse a envie de s'entraîner, il ne devrait pas pouvoir le faire dans les exactes conditions réelles d'une possible fusillade" Dans un édito publié sur CNN, Jeremy Bailenson propose ainsi de changer les lois physiques de la trajectoire d'une balle dans les jeux vidéo en réalité virtuelle. "Un peu comme lorsqu'on joue au Frisbee : pour atteindre une cible qui se trouve pile en face, on doit tirer légèrement de biais afin de prendre en compte le mouvement que va faire le disque", décrit-il. Il ajoute : "Un exemple plus subtil serait celui du paintball, jeu dans lequel les pastilles de couleur se lancent à une vitesse légèrement moins rapide que celle des balles, ce qui a pour conséquence de changer la manière dont les tireurs jouent avec la gravité de leur armes".

En adoptant cette modification dans les jeux de tuerie de masse, on préservait donc ceux-ci de devenir des plateformes permettant aux tireurs de masse en puissance de perfectionner leurs compétences. "Ce que je dis là ne revient pas à accuser les jeux vidéo de créer des tireurs de masse ou encore à dire que le secteur militaire ne devrait pas y avoir accès. En revanche, si un potentiel tireur de masse a envie de s'entraîner, il ne devrait pas pouvoir le faire dans les exactes conditions réelles d'une possible fusillade", ajoute Jeremy Bailenson. C'est pourquoi le spécialiste de la réalité virtuelle ne se dit pas contre les jeux vidéos, "dont l'objectif est bien d'être un divertissement", mais appelle au "sens moral" des concepteurs de jeux vidéo qui devraient également prendre en compte le monde dans lequel on vit. But : ne pas offrir des camps d'entraînement virtuels aux potentiels tireurs de masse.

Dans la même logique, le professeur de Stanford propose également que les cibles ne soient pas forcément humaines (selon lui, elles pourraient être remplacées par des robots) ou encore que les armes dans la réalité virtuelle ne soient pas façonnées sur le même modèle que de véritables armes. "Un tireur virtuel devrait se retrouver complètement démuni lors d'une prise en main d'un pistolet réel".

"L'objectif est de rendre abstraite la mémoire musculaire suscitée par les armes virtuelles. Un joueur pourrait alors jouer des centaines d'heures comme tireur virtuel et se retrouver complètement démuni lors d'une prise en main d'un pistolet réel", souhaite-t-il. Sachant que l'armée américaine s'entraîne déjà avec des jeux très réalistes et voit ses réflexes affutés par la répétition de mouvements virtuels ayant pour effet de modifier la structure du cerveau jusqu'à se transformer en de véritables compétences en matière de tirs, Jeremy Bailenson estime qu'il serait dangereux de laisser ces mêmes jeux à disposition du grand public.

En attendant, les jeux de réalité virtuelle proposant des fusillades sont loin d'avoir envahi tous les salons des foyers américains. Le débat autour de la lutte contre les tueries de masse se concentre surtout sur la libre circulation des armes sur le territoire américain. Ce qui, selon Jeremy Bailenson, ne doit pas nous empêcher de réfléchir à tous les moyens de rendre le recours aux fusils et pistolets réalistes complètement exceptionnel.

06/03/2018

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